Reconstruire les traces (GeoAnalytics)

Synthèse

Crée des pistes linéaires ou surfaciques à partir de données en entrée temporelles.

Illustration

Illustration de l’outil Reconstruire les traces

Utilisation

  • L’outil Reconstruire les traces est exécuté sur des entités ponctuelles ou surfaciques. La couche en entrée doit être temporelle et comporter des entités représentant un instant donné dans le temps.

  • Vous pouvez spécifier un ou plusieurs champs pour identifier des pistes. Les traces sont représentées par un ou plusieurs champs de trace. Par exemple, si les champs flightID et Destination sont utilisés comme identifiants de trace, les entités ID007, Solden et ID007, Tokyo se trouvent dans deux traces distinctes, car les valeurs de leur champ Destination sont différentes.

  • Les entités qui ont une zone tampon appliquée génèrent des pistes polygonales. Les entités ponctuelles en entrée qui n'ont pas de zone tampon appliquée génèrent des pistes polylinéaires.

  • Les entités en entrée sont constituées d’entités temporelles qui représentent un instant donné dans le temps. Les résultats sont des entités linéaires ou surfaciques représentant un intervalle dans le temps. Le début et la fin de l’intervalle sont déterminés par l’heure des première et dernière entités d’une trace.

    Entités en entrée comportant deux traces distinctes (verte et rouge) qui présentent des données temporelles de type instant (gauche) et les traces résultantes (droite) ou des données temporelles de type intervalle
    Entités en entrée comportant deux traces distinctes (verte et rouge) qui présentent des données temporelles de type instant (gauche) et les traces résultantes ou des données temporelles de type intervalle.

  • Pour obtenir des résultats linéaires, seules les pistes contenant plusieurs points seront renvoyées. Si vous appliquez une zone tampon, toutes les entités seront renvoyées.

  • Vous pouvez également appliquer une zone tampon à vos entités en entrée. Lorsque vous appliquez une zone tampon, les traces résultantes sont des entités surfaciques.

    Points en entrée avec application d’une zone tampon reconstruits en traces
    Les points en entrée avec application d’une zone tampon sont reconstruits en traces.

  • Lors de la bufférisation des entités en entrée, chaque entité en entrée est bufférisée. Une enveloppe convexe est générée pour la création d’une piste surfacique.

    Points en entrée (verts), zone tampon intermédiaire pour la visualisation (graduation bleue) et trace polygonale résultante (bleue)
    Un exemple de points en entrée (verts), une zone tampon intermédiaire pour la visualisation (graduation bleue) et la trace polygonale résultante (bleue) sont ici présentés.

  • Les champs utilisés dans l’expression de zone tampon doivent être numériques et sont appliqués à l’aide des unités de la référence spatiale en entrée. Pour plus d’informations, consultez Exemples d’expression de zone tampon pour ArcGIS Enterprise 10.5 et 10.5.1 ou Exemples d’expression de zone tampon pour ArcGIS Enterprise 10.6 et versions ultérieures. Dans ArcGIS Enterprise version 10.6.1 ou ultérieure, vous pouvez utiliser des équations permettant de gérer les traces.

  • Par défaut, seul le nombre de points ou de polygones d'une piste est calculé. Vous pouvez calculer des statistiques supplémentaires en indiquant une valeur pour le paramètre Summary Fields (Champs de récapitulation).

  • Par défaut, les pistes sont créées à l’aide de la méthode géodésique. Elle est appliquée aux deux composants suivants de l’analyse :

    • Les pistes croisent la liste internationale de changement de date : lorsque vous utilisez la méthode géodésique, les couches en entrée qui croisent la ligne internationale de changement de date comporteront des pistes qui croisent correctement la ligne internationale de changement de date. Il s’agit de l’option par défaut. Votre couche en entrée ou la référence spatiale de traitement doit être définie sur une référence spatiale qui prend en charge le retour à la ligne de la ligne de changement de date, par exemple, une projection globale de type World Cylindrical Equal Area.
    • Zones tampon : les entités en entrée peuvent éventuellement être bufférisées. Pour savoir quand appliquer une zone tampon géodésique ou planaire, reportez-vous à la section Créer des zones tampon.

  • Vous pouvez fractionner les pistes des manières suivantes :

    • Time Split (Fraction temporelle) : en fonction d’une durée entre des entrées. L’application d’une fraction temporelle permet de fractionner n’importe quelle piste lorsque l’éloignement des données en entrée est supérieur à la durée spécifiée. Par exemple, si vous disposez de cinq entités associées au même identifiant de piste et aux heures [01:00, 02:00, 03:30, 06:00, 06:30] et que vous paramétrez une fraction temporelle de 2 heures, les entités mesurées à plus de 2 heures d’intervalle seront fractionnées. Dans cet exemple, le résultat produit une piste comportant [01:00, 02:00, 03:30] et [06:00, 06:30], car la différence entre 03:30 et 6:00 est supérieure à 2 heures.
    • Time Boundary Split (Limite de fraction temporelle) : en fonction d’intervalles temporels définis. L’application d’une fraction de limite temporelle segmente les pistes à un intervalle défini. Par exemple, si vous définissez la limite temporelle sur une journée, avec un début le 1er janvier 1990 à 9 h 00 (9:00 a.m.), chaque piste sera tronquée à 9 h 00 tous les jours. Cette fraction réduit le temps de calcul car elle crée des pistes plus petites pour l’analyse. Si le fractionnement en fonction d’une limité temporelle récurrente est pertinent pour votre analyse, il est recommandé pour le traitement de Big Data.
    • Distance Split (Fraction spatiale) : en fonction d’une distance entre les entrées. L’application d’une fraction spatiale permet de fractionner n’importe quelle piste lorsque l’éloignement des données en entrée est supérieur à la distance spécifiée. Par exemple, si vous définissez une fraction spatiale de 5 kilomètres, les entités séquentielles éloignées de plus de 5 kilomètres apparaîtront sur des pistes différentes.
    • Split Expression (Expression de fractionnement) : basée sur une expression Arcade. L’application d’une expression de fractionnement divise les pistes en fonction de valeurs géométriques ou temporelles. Par exemple, vous pouvez diviser les pistes lorsqu’une valeur de champ est plus de deux fois supérieure à la valeur précédente d’une piste. Pour ce faire, à l’aide d’un champ d’exemple nommé WindSpeed, vous pouvez utiliser l’expression suivante : var speed = TrackFieldWindow("WindSpeed", -1, 1); 2* speed[0] < speed[1]. Les traces sont fractionnées lorsque la valeur précédente (speed[0]) est moins de deux fois supérieure à la valeur actuelle.

  • Vous avez la possibilité de ne choisir aucune option, ou d’appliquer une, deux, trois ou quatre options de fractionnement simultanément. Tous les exemples ci-dessous utilisent un fractionnement avec écart. Si vous appliquez une fraction temporelle de 6 heures, une limite temporelle d’une journée et une fraction spatiale de 16 kilomètres, les résultats sont les suivants :

    Cinq exemples de points en entrée (verts) avec plusieurs fractions temporelles et spatiales
    Cinq exemples de points en entrée (jaunes) avec plusieurs fractions temporelles et spatiales sont présentés.

    Option de fractionnementDescription

    Six points en entrée avec une heure et un emplacement

    Points en entrée avec le même identifiant. La distance entre les points est marquée au-dessus de la ligne pointillée et l’heure de chaque mesure de point est indiquée sous les points. Quatre fractions marquent la chronologie. Les fractions rouges représentent la fraction de limite temporelle d’une journée avec un début à minuit (12:00 a.m.). La fraction bleue représente la fraction spatiale lorsque la distance entre deux points est supérieure à 16 kilomètres. La fraction violette représente la fraction temporelle lorsque la distance temporelle entre deux points séquentiels est supérieure à 6 heures.

    Exemple sans fraction temporelle ni de distance

    Exemple sans fraction temporelle ni de distance.

    Exemple avec une fraction temporelle de 6 heures

    Exemple avec une fraction temporelle de 6 heures. Toutes les entités éloignées de plus de 2 heures sont fractionnées dans des pistes distinctes.

    Exemple avec une limite temporelle d’un jour

    Exemple avec une limite temporelle d’une journée et un début à minuit. À chaque intervalle d’une journée commençant à l’heure spécifiée (ici à minuit, 12:00 a.m.), une piste est créée.

    Exemple avec une fraction spatiale de 16 kilomètres

    Exemple avec une fraction spatiale de 16 kilomètres. Toutes les entités éloignées de plus de 16 kilomètres (les entités à 5 h 00 (05:00 a.m.) et 6 h 00 (06:00 a.m.)) sont fractionnées dans des pistes distinctes.

    Exemple avec une fraction temporelle de 6 heures et une fraction de limite temporelle d’une journée à minuit (12:00 a.m.)

    Exemple avec une fraction temporelle de six heures et une limite temporelle d’un jour à partir de 00 h 00. Les entités éloignées de plus de 6 heures ou qui intersectent la fraction temporelle à 00 h 00 sont fractionnées en traces distinctes.

    Exemple avec une fraction temporelle de 6 heures et une fraction spatiale de 16 kilomètres

    Exemple avec une fraction temporelle de 6 heures et une fraction spatiale de 16 kilomètres. Toutes les entités éloignées de plus de 6 heures (les entités à 6h00 (06:00 a.m.) et 7h00 (07:00 p.m.)) ou de plus de 16 kilomètres sont fractionnées dans des pistes distinctes.

    Exemple avec une fraction spatiale de 16 kilomètres et une limite temporelle d’une journée commençant à minuit (12:00 a.m.)

    Exemple avec une fraction spatiale de 16 kilomètres et une limite temporelle d’un jour à partir de 00 h 00. Toutes les entités éloignées de plus de 16 kilomètres ou qui intersectent la fraction temporelle à 00 h 00 sont fractionnées en traces distinctes.

    Exemple avec une fraction spatiale de 16 kilomètres, une fraction temporelle de 6 heures et une limite temporelle d’une journée commençant à minuit (12:00 a.m.).

    Exemple avec une fraction spatiale de 16 kilomètres, une fraction temporelle de six heures et une limite temporelle d’un jour à partir de 00 h 00. Toutes les entités éloignées de plus de 16 kilomètres ou de plus de six heures ou qui intersectent la fraction temporelle à 00 h 00 sont fractionnées en traces distinctes.

  • Lorsque vous fractionnez une piste à l’aide d’une fraction temporelle, d’une fraction spatiale ou d’une expression de fractionnement, vous pouvez définir la façon dont les segments entre les fractions seront créés. Les option de fractionnement de trace sont disponibles avec ArcGIS Enterprise version 10.9 ou ultérieure. Les options suivantes s'offrent à vous :

    • Gap (Écart) : crée un écart entre les deux entités fractionnées.
    • Finish After (Terminer après) : crée un segment qui se termine après la fraction.
    • Start Before (Commencer avant) : crée un segment qui se termine et commence avant la fraction.

    Le diagramme suivant illustre des exemples de types de fraction :

    Trois types de fractions temporelles

    Trois exemples de fractions temporelles sur les mêmes points en entrée (jaunes) sont ici présentés.

    Option de fraction temporelleDescription

    Cinq points en entrée avec une heure et un emplacement

    Cinq points en entrée avec le même identifiant. L’heure de chaque point est indiquée sous la ligne en pointillés. Il existe une fraction entre 2h00 (2:00 a.m.) et 5h00 (5:00 a.m.) pour tous les exemples. Chaque piste est fractionnée en deux segments entre le troisième et le quatrième point de la piste. La première piste est verte et la seconde est violette. La façon dont les pistes sont fractionnées dépend du type de fraction choisi.

    Écart Fractionnement d’intervalle

    Exemple d’écart entre les deux points fractionnés. La première piste se termine au troisième point et la seconde commence au quatrième point. Il s’agit de l’option par défaut.

    Finir après Fractionnement Finir après

    Exemple dans lequel la piste se termine après la fraction, au niveau du quatrième point. La seconde piste commence au quatrième point. Cette option est disponible avec ArcGIS Enterprise version 10.9 ou ultérieure.

    Commencer avant Fractionnement Commencer avant

    Exemple dans lequel la piste commence avant la fraction, au niveau du troisième point. La seconde piste commence au troisième point. Cette option est disponible avec ArcGIS Enterprise version 10.9 ou ultérieure.

  • Voici quelques exemples de vol aérien où il peut être pertinent de définir des pistes avec les paramètres de fractionnement et le paramètre d’identifiant de champ :

    • Une entité avion présente les champs aircraft ID, flight ID, pilot name, start time et flight_maneuver. Le champ flight_maneuver indique si l’avion est au sol, en phase ascendante, descendante ou à une altitude constante.
      • Utilisez le champ aircraft ID comme identifiant pour voir les destinations passées de chaque avion.
      • Utilisez les champs aircraft ID et flight ID comme identifiants pour comparer différents itinéraires.
      • Utilisez le champ aircraft ID et la limite temporelle d’un an pour examiner les vols de chaque avion pour une année à la fois.
      • Utilisez les champs pilot name, aircraft ID et start time pour visualiser le vol de chaque pilote.
      • Utilisez le champ aircraft ID comme identifiant et fractionnez les distances de plus de 1 000 kilomètres pour déterminer de nouvelles traces, sachant qu’un bond de 1 000 kilomètres dans les mesures ne doit pas appartenir à la même trace.
      • Utilisez le champ aircraft ID comme identifiant et utilisez une expression pour fractionner lorsque la valeur du champ flight_maneuver change. Par exemple, var flight_manuever = TrackFieldWindow("maneuver", -1, 1); flight_maneuver[0] != flight_maneuver[1] vérifie si la valeur actuelle d’une trace et la valeur précédente correspondent. Si tel n’est pas le cas, la piste est fractionnée.

  • Les traces en sortie renvoient les champs utilisés comme identifiants de trace, le nombre d’entités dans une trace (count), l’heure de début et de fin de chaque trace (start_datetime et end_datetime), la durée de la trace en millisecondes (duration) et d’autres statistiques facultatives (au format statisticstype_fieldname)).

  • Vous pouvez améliorer les performances de l’outil Reconstruire les pistes en suivant les conseils ci-après :

    • Définissez l’environnement de l’étendue de manière à analyser uniquement des données d’intérêt.
    • Utilisez la méthode planaire au lieu de la méthode géodésique.
    • N’appliquez pas de zone tampon.
    • Fractionnez vos pistes à l’aide des paramètres Time Split (Fraction temporelle), Time Boundary Split (Limite de fraction temporelle), Distance Split (Fraction spatiale) ou Split Expression (Expression de fractionnement). Le paramètre Time Boundary Split (Limite de fraction temporelle) permet d’obtenir les meilleures performances.
    • Utilisez les données locales de l’environnement de l’analyse.

  • Cet outil de géotraitement est mis en œuvre par ArcGIS GeoAnalytics Server. L’analyse est réalisée sur GeoAnalytics Server et les résultats sont stockés dans votre contenu dans ArcGIS Enterprise.

  • Lors de l’exécution des outils GeoAnalytics Server, l’analyse est réalisée sur GeoAnalytics Server. Pour des performances optimales, GeoAnalytics Server doit pouvoir accéder aux données via les couches d’entités hébergées sur votre portail ArcGIS Enterprise ou les partages de fichiers Big Data. Les données qui ne sont pas locales pour GeoAnalytics Server sont transférées sur GeoAnalytics Server avant le début de l’analyse. Autrement dit, l’exécution d’un outil prend plus de temps et, dans certains cas, le transfert des données depuis ArcGIS Pro vers GeoAnalytics Server peut échouer. Le seuil d’échec dépend aussi bien des débits du réseau que de la taille et de la complexité des données. Il est recommandé de toujours partager les données ou de créer un partage de fichiers Big Data.

    Pour en savoir plus sur le partage des données dans votre portail.

    En savoir pus sur la création d’un partage de fichiers Big Data via ArcGIS Server Manager

  • Vous pouvez effectuer une analyse semblable en utilisant :

Paramètres

ÉtiquetteExplicationType de données
Couche en entrée

Points ou polygones à reconstruire en pistes. L’entrée doit être une couche temporelle représentant un instant donné dans le temps.

Feature Set
Nom en sortie

Nom du service d’entités en sortie.

String
Champs de trace

Un ou plusieurs champs utilisés pour identifier des pistes uniques.

Field
Méthode

Spécifie les critères utilisés pour reconstruire les pistes. Si une zone tampon est utilisée, le paramètre Method (Méthode) détermine son type.

  • GéodésiqueSi la référence spatiale peut être déplacée, les pistes croisent la ligne de changement de date lorsque cela est approprié. Si la référence spatiale ne peut pas être déplacée, les pistes sont limitées à l’étendue du système de coordonnées et ne sont pas enroulées.
  • PlanaireDes zones tampons planaires sont créées.
String
Type de zone tampon

Indique comment la distance de la zone tampon sera définie.

  • ChampUn champ unique est utilisé pour définir la distance de la zone tampon.
  • ExpressionUne équation utilisant des champs et des opérateurs mathématiques est utilisé pour définir la distance de la zone tampon.
String
Champ de zone tampon
(Facultatif)

Champ qui sera utilisé pour mettre en zone tampon les entités en entrée. Les valeurs de champ sont appliquées dans les unités de la référence spatiale de l’entrée à moins que vous utilisiez un système de coordonnées géographiques, auquel cas elles sont exprimées en mètres.

Field
Expression de zone tampon
(Facultatif)

Expression qui sera utilisée pour mettre en zone tampon les entités en entrée. Les champs doivent être numériques et l’expression peut inclure les opérateurs [+ - * / ] et plusieurs champs. Les valeurs calculées sont appliquées dans les unités de la référence spatiale de l’entrée à moins que vous utilisiez un système de coordonnées géographiques auquel cas elles sont exprimées en mètres.

Dans ArcGIS Enterprise 10.5 et 10.5.1, les expressions se présentent sous la forme as_kilometers(distance) * 2 + as_meters(15). Dans ArcGIS Enterprise version 10.6 ou ultérieure, utilisez des expressions Arcade telles que as_kilometers($feature.distance) * 2 + as_meters(15).

Calculator Expression
Fraction temporelle
(Facultatif)

Les entités plus éloignées les unes des autres dans le temps que la durée de fraction temporelle sont séparées dans des pistes distinctes.

Time Unit
Champs de récapitulation
(Facultatif)

Statistiques qui seront calculées sur les champs spécifiés.

  • Count (Total) : le nombre de valeurs non nulles. Il peut être utilisé sur des champs numériques ou des chaînes. Le nombre de [null, 0, 2] est 2.
  • Sum (Somme) : somme des valeurs numériques dans un champ. La somme des [null, null, 3] est 3.
  • Mean (Moyenne) : moyenne des valeurs numériques. La moyenne des [0, 2, null] est 1.
  • Min : valeur minimale d’un champ numérique. Le minimum de [0, 2, null] est 0.
  • Max : valeur maximale d’un champ numérique. La valeur maximale de [0, 2, null] est 2.
  • Standard Deviation (Écart type) : écart type d’un champ numérique. L’écart type de [1] est null. L’écart type de [null, 1,1,1] est null.
  • Variance : variance d’un champ numérique dans une trace. La variance de [1] est null. La variance de [null, 1, 1, 1] est null.
  • Range (Plage) : plage d’un champ numérique. Elle est calculée comme la valeur minimale soustraite de la valeur maximale. La plage de [0, null, 1] est 1. La plage de [null, 4] est 0.
  • Any (Quelconque) : exemple de chaîne provenant d’un champ de type chaîne.
  • First (Première) : première valeur d’un champ spécifié dans une trace. Cette option est disponible avec ArcGIS Enterprise 10.8.1.
  • Last (Dernière) : dernière valeur d’un champ spécifié dans une trace. Cette option est disponible avec ArcGIS Enterprise 10.8.1.

Statistiques qui seront calculées sur les champs spécifiés.

  • COUNT : nombre de valeurs non nulles. Il peut être utilisé sur des champs numériques ou des chaînes. Le nombre de [null, 0, 2] est 2.
  • SUM : somme des valeurs numériques dans un champ. La somme des [null, null, 3] est 3.
  • MEAN : moyenne des valeurs numériques. La moyenne des [0,2, null] est 1.
  • MIN : valeur minimale d’un champ numérique. Le minimum de [0, 2, null] est 0.
  • MAX : valeur maximale d’un champ numérique. La valeur maximale de [0, 2, null] est 2.
  • STDDEV : écart type d’un champ numérique. L’écart type de [1] est null. L’écart type de [null, 1,1,1] est null.
  • VAR : variance d’un champ numérique dans une trace. La variance de [1] est null. La variance de [null, 1,1,1] est null.
  • RANGE : plage d’un champ numérique. Elle est calculée comme la valeur minimale soustraite de la valeur maximale. La plage de [0, null, 1] est 1. La plage de [null, 4] est 0.
  • ANY : exemple de chaîne provenant d’un champ de type chaîne.
  • FIRST : première valeur d’un champ spécifié dans une trace. Cette option est disponible avec ArcGIS Enterprise 10.8.1.
  • LAST : dernière valeur d’un champ spécifié dans une trace. Cette option est disponible avec ArcGIS Enterprise 10.8.1.

Value Table
Data store
(Facultatif)

Indique l’instance ArcGIS Data Store dans laquelle la sortie est enregistrée. La valeur par défaut est Stockage de Big Data spatio-temporelles. Tous les résultats stockés dans un répertoire de données Big Data spatio-temporelles seront stockés en WGS84. Les résultats stockés dans un répertoire de données relationnelles conservent leur système de coordonnées.

  • Stockage de Big Data spatio-temporellesLa sortie sera stockée dans un stockage de Big Data spatio-temporelles. Il s’agit de l’option par défaut.
  • Stockage des données relationnellesLa sortie sera stockée dans un data store relationnel.
String
Fraction spatiale
(Facultatif)

Les entités plus éloignées physiquement les unes des autres que la valeur de fraction spatiale sont séparées dans des pistes distinctes. Ce paramètre est disponible uniquement avec ArcGIS Enterprise version 10.6 et ultérieures.

Linear Unit
Fraction de limite temporelle
(Facultatif)

Période dans laquelle fractionner les données en entrée pour analyse. Une limite temporelle vous permet d’analyser des valeurs dans une période temporelle définie. Par exemple, si vous utilisez une limite temporelle de 1 jour, à partir du 1er janvier 1980, les traces seront fractionnées au début de chaque jour. Ce paramètre est disponible uniquement avec ArcGIS Enterprise 10.7 et version ultérieure.

Time Unit
Référence de la limite temporelle
(Facultatif)

Référence temporelle dans laquelle fractionner les données en entrée pour analyse. Les limites temporelles seront créées pour toute la plage des données et il n’est pas nécessaire que la référence temporelle se situe au début. Si aucune référence temporelle n’est indiquée, le 1er janvier 1970 est utilisé. Ce paramètre est disponible uniquement avec ArcGIS Enterprise 10.7 et version ultérieure.

Date
Expression de fractionnement
(Facultatif)

Expression qui divise les pistes en fonction de valeurs géométriques ou temporelles. Les expressions dont la validation produit la valeur Vrai sont fractionnées. Ce paramètre est disponible uniquement avec ArcGIS Enterprise version 10.9 et ultérieures.

Calculator Expression
Type de fractionnement
(Facultatif)

Spécifie la façon dont le segment de piste entre deux entités est créé lorsqu’une piste est fractionnée. Le type de fraction est appliqué aux expressions de fractionnement, aux fractions spatiales et aux fractions temporelles. Ce paramètre est disponible uniquement avec ArcGIS Enterprise version 10.9 et ultérieures.

  • ÉcartAucun segment n’est créé entre les deux entités. Il s’agit de l’option par défaut.
  • Terminer aprèsUn segment est créé entre les deux entités se terminant après la fraction.
  • Commencer avantUn segment est créé entre les deux entités se terminant avant la fraction.
String

Sortie obtenue

ÉtiquetteExplicationType de données
Classe d’entités en sortie

Pistes linéaires ou surfaciques en sortie.

Feature Set

arcpy.geoanalytics.ReconstructTracks(input_layer, output_name, track_fields, method, buffer_type, {buffer_field}, {buffer_expression}, {time_split}, {summary_fields}, {data_store}, {distance_split}, {time_boundary_split}, {time_boundary_reference}, {split_expression}, {split_type})
NomExplicationType de données
input_layer

Points ou polygones à reconstruire en pistes. L’entrée doit être une couche temporelle représentant un instant donné dans le temps.

Feature Set
output_name

Nom du service d’entités en sortie.

String
track_fields
[track_fields,...]

Un ou plusieurs champs utilisés pour identifier des pistes uniques.

Field
method

Spécifie les critères utilisés pour reconstruire les pistes. Si une zone tampon est utilisée, le paramètre method détermine son type.

  • GEODESICSi la référence spatiale peut être déplacée, les pistes croisent la ligne de changement de date lorsque cela est approprié. Si la référence spatiale ne peut pas être déplacée, les pistes sont limitées à l’étendue du système de coordonnées et ne sont pas enroulées.
  • PLANARLes pistes ne franchissent pas la ligne de changement de date.
String
buffer_type

Indique comment la distance de la zone tampon sera définie.

  • FIELDUn champ unique est utilisé pour définir la distance de la zone tampon.
  • EXPRESSIONUne équation utilisant des champs et des opérateurs mathématiques est utilisé pour définir la distance de la zone tampon.
String
buffer_field
(Facultatif)

Champ qui sera utilisé pour mettre en zone tampon les entités en entrée. Les valeurs de champ sont appliquées dans les unités de la référence spatiale de l’entrée à moins que vous utilisiez un système de coordonnées géographiques, auquel cas elles sont exprimées en mètres.

Field
buffer_expression
(Facultatif)

Expression qui sera utilisée pour mettre en zone tampon les entités en entrée. Les champs doivent être numériques et l’expression peut inclure les opérateurs [+ - * / ] et plusieurs champs. Les valeurs calculées sont appliquées dans les unités de la référence spatiale de l’entrée à moins que vous utilisiez un système de coordonnées géographiques auquel cas elles sont exprimées en mètres.

Dans ArcGIS Enterprise 10.5 et 10.5.1, les expressions se présentent sous la forme as_kilometers(distance) * 2 + as_meters(15). Dans ArcGIS Enterprise version 10.6 ou ultérieure, utilisez des expressions Arcade telles que as_kilometers($feature.distance) * 2 + as_meters(15).

Expression qui sera utilisée pour mettre en zone tampon les entités en entrée. Les champs doivent être numériques et l’expression peut inclure les opérateurs [+ - * / ] et plusieurs champs. Les valeurs calculées sont appliquées dans les unités de la référence spatiale de l’entrée à moins que vous utilisiez un système de coordonnées géographiques auquel cas elles sont exprimées en mètres.

Dans ArcGIS Enterprise 10.5 et 10.5.1, les expressions se présentent sous la forme as_kilometers(distance) * 2 + as_meters(15). Dans ArcGIS Enterprise version 10.6 ou ultérieure, utilisez des expressions Arcade telles que as_kilometers($feature.distance) * 2 + as_meters(15).

Calculator Expression
time_split
(Facultatif)

Les entités plus éloignées les unes des autres dans le temps que la durée de fraction temporelle sont séparées dans des pistes distinctes.

Time Unit
summary_fields
[summary_fields,...]
(Facultatif)

Statistiques qui seront calculées sur les champs spécifiés.

  • COUNT : nombre de valeurs non nulles. Il peut être utilisé sur des champs numériques ou des chaînes. Le nombre de [null, 0, 2] est 2.
  • SUM : somme des valeurs numériques dans un champ. La somme des [null, null, 3] est 3.
  • MEAN : moyenne des valeurs numériques. La moyenne des [0,2, null] est 1.
  • MIN : valeur minimale d’un champ numérique. Le minimum de [0, 2, null] est 0.
  • MAX : valeur maximale d’un champ numérique. La valeur maximale de [0, 2, null] est 2.
  • STDDEV : écart type d’un champ numérique. L’écart type de [1] est null. L’écart type de [null, 1,1,1] est null.
  • VAR : variance d’un champ numérique dans une trace. La variance de [1] est null. La variance de [null, 1,1,1] est null.
  • RANGE : plage d’un champ numérique. Elle est calculée comme la valeur minimale soustraite de la valeur maximale. La plage de [0, null, 1] est 1. La plage de [null, 4] est 0.
  • ANY : exemple de chaîne provenant d’un champ de type chaîne.
  • FIRST : première valeur d’un champ spécifié dans une trace. Cette option est disponible avec ArcGIS Enterprise 10.8.1.
  • LAST : dernière valeur d’un champ spécifié dans une trace. Cette option est disponible avec ArcGIS Enterprise 10.8.1.

Value Table
data_store
(Facultatif)

Indique l’instance ArcGIS Data Store dans laquelle la sortie est enregistrée. La valeur par défaut est SPATIOTEMPORAL_DATA_STORE. Tous les résultats stockés dans un répertoire de données Big Data spatio-temporelles seront stockés en WGS84. Les résultats stockés dans un répertoire de données relationnelles conservent leur système de coordonnées.

  • SPATIOTEMPORAL_DATA_STORELa sortie sera stockée dans un stockage de Big Data spatio-temporelles. Il s’agit de l’option par défaut.
  • RELATIONAL_DATA_STORELa sortie sera stockée dans un data store relationnel.
String
distance_split
(Facultatif)

Les entités plus éloignées physiquement les unes des autres que la valeur de fraction spatiale sont séparées dans des pistes distinctes. Ce paramètre est disponible uniquement avec ArcGIS Enterprise version 10.6 et ultérieures.

Linear Unit
time_boundary_split
(Facultatif)

Période dans laquelle fractionner les données en entrée pour analyse. Une limite temporelle vous permet d’analyser des valeurs dans une période temporelle définie. Par exemple, si vous utilisez une limite temporelle de 1 jour, à partir du 1er janvier 1980, les traces seront fractionnées au début de chaque jour. Ce paramètre est disponible uniquement avec ArcGIS Enterprise 10.7 et version ultérieure.

Time Unit
time_boundary_reference
(Facultatif)

Référence temporelle dans laquelle fractionner les données en entrée pour analyse. Les limites temporelles seront créées pour toute la plage des données et il n’est pas nécessaire que la référence temporelle se situe au début. Si aucune référence temporelle n’est indiquée, le 1er janvier 1970 est utilisé. Ce paramètre est disponible uniquement avec ArcGIS Enterprise 10.7 et version ultérieure.

Date
split_expression
(Facultatif)

Expression qui divise les pistes en fonction de valeurs géométriques ou temporelles. Les expressions dont la validation produit la valeur Vrai sont fractionnées. Ce paramètre est disponible uniquement avec ArcGIS Enterprise version 10.9 et ultérieures.

Calculator Expression
split_type
(Facultatif)

Spécifie la façon dont le segment de piste entre deux entités est créé lorsqu’une piste est fractionnée. Le type de fraction est appliqué aux expressions de fractionnement, aux fractions spatiales et aux fractions temporelles. Ce paramètre est disponible uniquement avec ArcGIS Enterprise version 10.9 et ultérieures.

  • GAPAucun segment n’est créé entre les deux entités. Il s’agit de l’option par défaut.
  • FINISH_LASTUn segment est créé entre les deux entités se terminant après la fraction.
  • START_NEXTUn segment est créé entre les deux entités se terminant avant la fraction.
String

Sortie obtenue

NomExplicationType de données
output

Pistes linéaires ou surfaciques en sortie.

Feature Set

Exemple de code

Exemple 1 d’utilisation de l’outil ReconstructTracks (script autonome)

Le script suivant pour la fenêtre Python illustre l’utilisation de la fonction ReconstructTracks.

# Name: ReconstructTracks.py
# Description: Reconstruct hurricane points into hurricane tracks, where each 
#              location is buffered by the wind speed * 100

# Requirements: ArcGIS GeoAnalytics Server

# Import system modules
import arcpy

# Set local variables
inFeatures = "https://sampleserver6.arcgisonline.com/arcgis/rest/services/Hurricanes/MapServer/0"
trackIdentifier = "EVENTID"
outFS = "HurricaneTracks"
bufferExpression = "WINDSPEED * 100"
statistics = [["PRESSURE", "MEAN"]]

# Run Reconstruct Tracks
arcpy.geoanalytics.ReconstructTracks(inFeatures, outFS, trackIdentifier, 
                                     "GEODESIC", "EXPRESSION", None, 
                                     bufferExpression, None, statistics)

Environnements

Cas particuliers

Système de coordonnées en sortie

Système de coordonnées qui sera utilisé pour l'analyse. L’analyse sera réalisée dans le système de coordonnées en entrée, à moins que ce paramètre en spécifie un autre. Pour GeoAnalytics Tools, les résultats finaux sont stockés dans le stockage des données spatio-temporelles dans WGS84.

Informations de licence

  • Basic: Nécessite ArcGIS GeoAnalytics Server
  • Standard: Nécessite ArcGIS GeoAnalytics Server
  • Advanced: Nécessite ArcGIS GeoAnalytics Server

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